vendredi 16 avril 2010

Texte de Pierrick que j'aime toujours autant lire

Alors il faut voir la mer, partir loin de ces foutus paysages plats qui ne veulent plus rien dire. Éteindre la dernière clope et se laisser monter dans le train pour partir loin au pays des vagues. Il n’y a plus rien après la mer, après la mer c’est tout. Les vagues, se laisser porter par le bruit du roulis ou encore les mouettes qui rient de tout mais surtout des touristes. On dit qu’en Bretagne il ne pleut que sur les cons. Je le dirai à Diane, elle en rira de ses pluies diluviennes, celles qu’elle porte en elle secrètement depuis toujours.

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